Laurent Mathiot visite les sites de Yacari et de Victoria
Laurent Mathiot, président d’OCIM, a visité les deux unités de traitement de minerai de Yacari et de Victoria. Accompagné d’Ivan Salas, directeur des opérations d’OCIM au Pérou, il a pu observer chaque étape du processus de production de l’or. Ce faisant, il a pu constater la montée en puissance rapide de la production, qui a redémarré en juin, trois mois seulement après l’acquisition des unités.
Laurent Mathiot et Ivan Salas sont accueillis à Yacari par l’équipe locale.
Ivan Salas montre à Laurent Mathiot un sac de charbon actif destiné au processus de lixiviation à Yacari.
Le minerai est d’abord broyé avant d’être immergé dans des cuves remplies d’une solution de cyanure où il est dissous, puis mis en contact avec du charbon actif qui absorbe sélectivement l’or.
Laurent Mathiot se tient devant les cuves, qui ont été rapidement remises en état de fonctionnement après avoir été gravement endommagées.
L’eau contenant de l’acide cyanurique est stockée dans un bassin de rétention avant d’être traitée et recyclée. Cette pratique garantit qu’aucune substance polluante ou toxique n’est rejetée dans l’environnement.
Laurent Mathiot et Ivan Salas sont accueillis à Victoria, où le charbon actif est traité jusqu’à la fusion des lingots dorés.
Tous les déchets produits au sein de l’usine sont récupérés et recyclés (ici, des bacs pour la récupération des métaux, du verre, du papier, des déchets organiques, etc. Ces bacs sont un exemple de respect des normes les plus strictes en matière d’hygiène, de sécurité et de protection de l’environnement.
Laurent Mathiot aide un membre de l’équipe locale à ouvrir la vanne du four à haute température dans lequel la boue d’or a été fondue. Le métal en fusion est ensuite coulé dans des moules pour former des dorés bars (alliage d’or et d’argent). La boue d’or avait auparavant été obtenue en lavant du charbon actif avec de l’acide avant d’être placée dans une cellule d’électrolyse.
Ici un des moules dans lesquels le métal en fusion est coulé.

Un ouvrier de la raffinerie remet un doré bar à Laurent Mathiot une fois le processus de fusion terminé.